Tuesday, February 16, 2016

2016 @ The Movies Take 19 Deadpool

Movie review originally published on Facebook - YEAR 3 - COMPLETE LISTING
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 3ème ANNEE: - LISTE COMPLÈTE


2016 @ The Movies Take 19 "Deadpool" (IMAX) In an effort to replicate the tone of the film, this review will include strong language, humorous sexual deviance, a superfluous cameo, a broken fourth wall and will be produced by an asshat. This is a review for a super-hero film unusually rated R that came out on February 12 2016, so about a week ago. Well, except if you are reading this way after I busted my ass to get it on Facebook in a somewhat timely manner. We are probably talking about the blog version at this point since it is a major pain in the ballsack to look for an older post on a friend's profile on Facebook. Don't even try that shit. In that case, check the fucking date on your most reliable calendar and figure out how long ago was February 12, 2016. Then picture yourself typing in the appropriate date in the blankety–blank that follows: This is a review for a super-hero film unusually rated R that came out on February 12 2016, so about _____________ ago. After wasting 3 minutes of your time with profanity-laden digressions, I will sing the praises of the opening credits of the film with a string of unlikely adjectives. At this point, the reviewer (Yes, I just shifted the fatherhumping point of view, didn't I?) makes a snarky comment about Ryan Reynolds' track record and, quite unexpectedly, extols his performance as a self-deprecating super-powered douchebag. Then will come a pompous reference to the original comic-book figure on which the film's titular character is based and his significance in the history of the medium that Will Eisner quite justly described as "Sequential Art." Frank Zappa's Voodoo Butter Underpants will be then mentioned, not because it is relevant, but to justify the "superfluous cameo and the humorous sexual deviance" disclaimers made 279 words ago. Suddenly, a warm summer breeze swept over Wade Wilson's nude posterior as he was certain to be indoors partaking in a copulatory activity with his favorite stuffed unicorn. A hint of panic made his scrotum quiver. He opened one eye and realized one of the walls of the room had collapsed. A stronger gust of wind blew off his fedora that gently landed on his left butt cheek. Experienced right behind a large man with dubious hygienic practices sporting a Deadpool cap worn backwards on a local large format screen (AMC Springfield 11) 4 days after its original release with Susie & Kurtis still full of Patrick's soup. 


Here lies an almost funny transition to Français - probablement une traduction littérale du tire.
2016 se paie une toile 19ème prise "Deadpool" (IMAX) Dans l'effort de reproduire le ton du film, cette critique comportera des mots vulgaires, des déviances sexuelles humoristiques, un invité surprise superflu, un quatrième mur brisé et sera produite par un trouduc à chapeau. Ceci est la critique d'un film de super-héros curieusement destiné à un public avertis qui est sorti le 10 Février 2016, il y a à peu près une semaine. Enfin, sauf si vous être entrain de lire cette critique super longtemps après que je me soit emmerdé à la poster sur Facebook en temps et en heure. On parle là surement de la version blogue vu que retrouver un ancien poste sur la page Facebook d'un ami c'est comme s'épiler les poils de couille avec un pince à linge. Ça vaut même pas le coup de se faire chier à essayer. Dans ce cas, vérifiez plutôt la date d'aujourd'hui sur un putain de calendrier des postes et calculer le temps écoulé depuis le 10 Février 2016. Ensuite, imaginer que vous remplissez la mention manquante dans la phrase qui suit: Ceci est la critique d'un film de super-héros curieusement destiné à un public avertis qui est sorti le 10 Février 2016, il ya à peu près ______________. Après vous avoir fait perdre 3 minutes avec des digressions regorgeant de vulgarités, Je vais faire l'éloge du générique du film à l'aide un nombre important d'adjectifs bizarres. À ce moment précis, le critique (Oui, je viens juste de changer cette enflure de point de vue.) fera une remarque désobligeante à l'égard de la carrière de Ryan Reynolds, pour, sans qu'on s'y attende, porter aux nues sa splendide interprétation d'un super-connard emprunte d'autodénigrement. Ensuite viendra une référence pompeuse au personnage de comic book qui est à la base du film au titre éponyme. Le tout sera assorti d'ue recontextualisation dans l'histoire du mode d'expression que Will Eisner avait justement baptisé l'Art Séquentiel. On fera ensuite allusion à la "beurrette de slip vaudou" issue de l'œuvre de Frank Zappa. Non pas parce que c'est approprié, mais simplement pour justifier l'annonce de déviances sexuelles humoristiques et d'un invité surprise superflu faites il y a 330 mots.
Soudain, une brise tiède brossa le postérieur dénudé de Wade Wilson alors qu'il était certain d'être dans un lieu clos occupé à copuler avec sa licorne en peluche préférée. Une légère panique lui fît trembloter le scrotum. Il ouvrit un oeil et constata qu'un des murs de la pièce s'était écroulé. Un coup de vent plus prononcé le décoiffa de son borsalino qui atterri doucement sur sa fesse gauche. Vu juste derrière un gros monsieur à l'hygiène douteuse qui briguait une casquette Deadpool porté à l'envers sur écran large 4 jours après sa sortie accompagné par Susie & Kurtis repus par la soupe de Patrick.
La bande annonce en VF! 

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