Wednesday, January 20, 2016

2016 @ The Movies Take 9 Butch Cassidy and The Sundance Kid (1969)

Movie review originally published on Facebook - YEAR 3 - COMPLETE LISTING
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 3ème ANNEE: - LISTE COMPLÈTE


2016 @ The Movies Take 9 "Butch Cassidy & Sundance Kid (October 24 1969) Just 2 years after the release of Arthur Penn's "Bonnie & Clyde" that paved the way for the New Hollywood, comes this "funnihilistic" western with a similar premise: a pair (and sometimes a trio) of unapologetic outlaws who take their vocation to its última conclusión. The film has a bold energy that stands the test of time. It is, of course, due to the newly introduced Newman/Redford chemistry, but also some of the unconventional choices that characterize the cinema of that era. The focus on the main leads' shortcomings and failures as bank robbers rather than pursuing the safer Robin Hood motif gives more depth to the comedic element. The film goes as far as skipping over a passage of relative success in New York City by presenting it as a montage of vintage still pictures. I also loved how the number one obstacle to their bank robbing spree in Bolivia is the Spanish language. The lesson of Spanish for bank robbers is priceless. Moreover, to emphasize the protagonists' linguistic challenge, all scenes with Bolivians discussing "Los Bandidos Yanquis" are in Spanish and not even subtitled. Of course, there is no shortage of beautiful landscape shots that make it a true treat on the big screen - especially this pristine HD presentation. Experienced at Regal College Station Stadium 14 as part of the Fathom Events on January 20 in theater 3. 



And now le ouesterne
2016 se paie un toile 9ème prise Butch Cassidy et le Kid (Sortie française le 6 Février 1970) Tout juste 2 ans après le "Bonnie & Clyde" d'Arthur Penn qui donna le la du Nouvel Hollywood, sortait ce western comico-nihiliste avec une accroche similaire: un duo (et quelques fois un trio) de hors la lois sans états d'âme qui poussent leur vocation jusqu' à la última conclusión. Le film est doté d'une énergie sans retenue qui n'a pas pris une ride. C'est dû au nouveau tandem Newman/Redford, mais aussi au choix surprenants qui caractérisent le cinéma de l'époque. On s'intéresse plus aux échecs et défauts des protagonistes braqueurs de banques qu'à un côté Robin des Bois plus attendu. Ce qui donne aux moments comiques plus de profondeurs. Le film à même l'audace de passer rapidement sur une période de succès relatif à New York en la présentant sous la forme d'un photo montage en ton sépia. J'ai aussi beaucoup aimé que le premier obstacle au pillage de banque en Bolivie soit la langue espagnole. La leçon de d'espagnol pour braquage de banque est superbe. Comme pour appuyer le défi linguistique des protagonistes, toutes les scènes de boliviens parlant de "Los Bandidos Yanquis" sont en espagnole et non sous-titrées. Bien sûr il y aussi nombre de paysages magnifiques qui appellent un visionnage en salle - surtout avec cette superbe nouvelle copie HD. Vu au Regal College Station Stadium 14 le 20 Janvier dans la salle 3.
Une scène en bonne vieille VF d'époque: 

No comments:

Post a Comment