Saturday, January 2, 2016

2016 @ The Movies Take 2 The Hateful Eight (DLP Version)

Movie review originally published on Facebook - YEAR 3
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 3ème ANNEE:


2016 @ The Movies Take 2 "The Hateful Eight" (DLP Version) The Digital Light Processing version cannot match the vibrant colors and striking contrast on the snowy landscape of the 70mm version (see my review of the 70mm version). Nevertheless, the 2h47m cut with no overture nor intermission is superior in terms of rhythm and suspense building. In addition, a second viewing creates a very different experience as certain lines and character behaviors take one a very different meaning. Reviewers have quite justly compared the story structure to an Agatha Christie novel or a game of Clue. I see the film the second time around more as a twisted chess game. A chess board actually occupies a central position the haberdashery and several characters comment on their varied skill level when it comes to chess. The action of the film starts mid-way through the game. When 8 characters are featured as protagonists - like the 8 strongest pieces of the game, 16 characters are present in the haberdashery throughout the film which corresponds exactly to half a chessboard. Of course, not all pieces are from the same side of the board, but the mantle of snow seemed to have momentarily hidden their identities and loyalties. Through the movements and discourse of each character in the haberdashery, their true nature can be related to chess pieces. Pawns get killed early in the game (except the smart one that speaks French). Now, who are the Kings, the Queens, the Bishops, the Rooks or the Knights? I'll let you decide and we can compare notes. In my interpretation, the still below (that shows the actual chessboard) features 2 Kings, a bishop and a Knight. Experienced at Regal College Station Stadium 14 on January 2 in Auditorium 14.

And now encore un peu de saloperie:
2016 se paie une toile 2ème prise "Les Huit Salopards" (Version Digitale - sortie française le 6 Janvier) La version digitale a du mal a reproduire les superbes couleurs et magnifiques contrastes sur paysages enneigés de la version 70mm (Voir ma critique de la version 70mm). Néanmoins, la version de 2h47m sans l'ouverture et l'entracte est supérieure en terme de rythme et de suspense. En plus, un second visionnage créer une expérience différente alors que certaines répliques et actions prennent un nouveau sens. On a comparé la structure du film à un roman d'Agatha Christie ou au jeu de Cluedo. Cette fois-ci, je vois plus le film comme une partie d'échec tordue. Un véritable échiquier occupe d'ailleurs un place centrale dans la mercerie et plusieurs personnages parlent de leur habilité aux échecs. L'action du film commence en milieu de partie. Quand 8 personnages sont mis en avant (comme les 8 pièces maîtresses du jeu d'échec), 16 personnages sont présents dans la mercerie tout au long du film ce qui correspond exactement à la moitié d'un jeu d'échec complet. Bien sûr, pas toutes les pièces sont du même bord, mais le manteau de neige semble avoir momentanément caché leur identité et loyauté. Au travers des mouvements et du discours de chaque personnages dans la mercerie, leur vraie nature se rattache à des pièces de l'échiquier. Les pions se font tuer tôt dans la partie (sauf le pion malin qui parle français). Qui sont les rois, les reines, les fous, les tours ou les cavalier? Je vous laisse décider et on comparera nos notes. Dans mon interprétations, la photo ci-dessous, outre l'échiquier, révèle 2 rois, 1 fou et 1 Cavalier. Vu le 2 Janvier au Regal College Station Stadium 14 dans la salle 14.




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