Wednesday, May 4, 2016

2016 @ The Movies Take 52 Miles Ahead

Movie review originally published on Facebook - YEAR 3 - COMPLETE LISTING
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 3ème ANNEE: - LISTE COMPLÈTE 


2016 @ The Movies Take 52 "Miles Ahead" Biopics are too often based on the faulty premise that extraordinary lives must make for extraordinary films. The inspiring journey of the hero, portrayed by a trendy Oscar contender, is given to us from cradle to grave. It usually opens on the key moment in the heroes' life and flashes back to her formative years and closes on faded pictures of the actual folks during sappy-muzak-laden closing credits. For his first feature as a director, Don Cheadle shatters this boring mold to offer an unapologetic look at moment of crisis in the life of Miles Davis right before his come back in the early 80's. This bold non-linear mosaic of images and sounds aptly translates the distress of the musician wrestling with his legend and the unpredictable nature of jazz. While Davis' musical genius is prominently showcased, Cheadle does not shy away from the darker side of the man: drugs, violence, difficult relationship to women. He even finds a new twist to the traditional end credit photo album that cleverly illustrates the perpetual movement forward that is jazz music... sorry, I should call it "Social Music." Experienced at Moxie Cinema in theater 1 on May 4 with SusieTaylor & Kurtis Shorter.




2016 se paie une toile 52ème prise "Miles Ahead" (Sortie française prochaine) Les biopics sont souvent basés sur la fausse idée que des vies extraordinaires doivent donner des films extraordinaires. Le trajet de vie fascinant du héros, joué à l'écran par un oscarisable à la mode, nous est servi du berceau au cercueil. Ça commence souvent par le moment décisif dans la vie du héros qui amorce d'un flash back sur les années d'enfances pour finir sur un collection de photos jaunies des vrais gens nimbée d'une musique sirupeuse pendant le générique de fin. Pour son premier long-métrage en tant que réalisateur, Don Cheadle détruit se modèle éculé pour présenter sans fard un moment de crise dans la vie de Miles Davis juste avant son retour au début des années quatre-vingt. Cette mosaïque non-linéaire de sons et d'images traduit avec justesse la détresse du musicien en proie à sa légende et le caractère imprévisible du jazz. Bien que le génie musical de Davis soit bien mis en avant, Don Cheadle ne se détourne pas du côté sombre du personnage: drogues, violence, relation difficile aux femmes. Il trouve même une alternative intelligente au traditionnel album photo du générique de fin avec une scène qui illustre avec brio le mouvement perpétuel qui est au cœur de la musique jazz... désolé, je devrait dire la "Musique Sociale." Vu au Moxie Cinema dans la salle 1 le 4 Mai avec Susie Taylor & Kurtis Shorter.
Désolé pas de bande annonce en VOSTF.

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