Tuesday, November 24, 2015

2015 @ The Movies Take 140 Love (3D)

Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 2ème ANNEE:


2015 @ The Movies Take 140 "Love (3D)" With this latest effort, Gaspar Noéattempts to depict romantic love making explicitly in a mainstream film. The actors engage in sexual activities (mostly not simulated) that are usually only shown in phonographic movies. The difference being they are framed in a narrative with a greater purpose than just titillate. In an effort to enhance the experience, and add a layer of provocation, the film is shot in 3D and clocks at 2h15min. While the challenge and initial boldness can be laudable, the execution fails to impress. After 2 hours 15 minutes, we become well-acquainted with wide array of genitalia; however, the characters attached to them are flat, and boring. Their passion is tepid and the resulting debauchery mechanical and tedious. The 3D element is almost not exploited except for the predictable finale of a hand-propelled activity. Stay home and re-watch "Blue Is the Warmest Colour" or "In the Realm of the Senses" for true passion on the explicit screen. Experienced at the Angelika Film Center (NYC) on November 24 in theater 2. 



And now l'amour en trois D
2015 se paie un toile 140ème prise "Love (3D)" (Sortie Française le 15 Juillet 2015) Avec son dernier long-métrage, Gaspar Noé essaye de porter l'amour physique à l'écran de la manière la plus explicite possible. Les acteurs jouent des scènes de sexe (la plupart non simulées) qui sont habituellement réservées aux films pornographiques. À la différence que leurs ébats font partis d'une histoire dont le but n'est pas seulement d'émoustiller. Pour ajouter du piment à l'expérience, et une bonne couche de provocation, le film est en 3D et dure 2h15min. Quand on peut saluer la témérité de l'entreprise, l'execution est loin d'être convaincante. Après 2 heures et 15 minutes, on devient intime d'une belle collection d'organes génitaux; cependant, les personnages qui les relient sont creux et ennuyeux. Leur passion est tiédasse et la débauche résultante mécanique et pénible. Le côté 3D est quasi-inexploité si ce n'est pour le bouquet final très téléphoné d'une activité manuelle répétitive. Rester à la maison et repasser vous "La vie d'Adèle" ou "L'Empire des Sens" pour de la vraie passion sur écran sans vergogne. Vu au Angelika Film Center (NYC) le 24 Novembre dans la salle 2.
la Bande annonce de chez nous:

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