Saturday, October 31, 2015

2015 @ The Movies Take 130 Steve Jobs

Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 2ème ANNEE:


2015 @ The Movies Take 130 "Steve Jobs" Don't expect to a run-of-the-mill biopic. This is a partial reinterpretation of the Walter Isaacson biography into three one-act plays. Each is set minutes before product launches in 1984, 1988 and 1998. Minutes before Steve Jobs steps on stage and becomes the icon we all know, the film visits an alternate claustrophobic hidden stage where other contradictory Steve Jobs emerge. Aaron Sorkin's script cleverly weaves together anecdotes, events, and devastating one-liners to create the portrait of a brilliantly flawed man. The script is sometimes a bit too jam-packed, but it is delivered so magnificently by the entire cast that it rapidly traps the audience into its rhythm and catches off-guard you when it ends. Michael Fassbender could not look more different than Steve Jobs, but he manages to breathe life into the icon in a much more successful way than his predecessors. Danny Boyle also plays with the physical form of the film to give a distinct tone to the 3 parts in a most effective way. The picture on screen physically transitions from the grainy celluloid of the 80's to the pixelated sharpness of the late 90's. Of course, it is a 100% digital illusion, but is it not what Jobs is selling? Even though the film did not find its public and has now vanished from our local screens, I have an inkling that it will find more acclaim down the road. Experienced atRegal College Station Stadium 14 on October 31 with Susie & KurtisWozniak. 




And now les travaux de Steve :
2015 se paie un toile 130ème prise "Steve Jobs" (sortie française le 3 Février 2016) Ne vous attendez pas au biopic du mois. Ce film est plus une réinterprétation partielle de la biographie de Walter Isaacson en trois pièce de théâtre en un acte. Chaque acte se déroule quelques minutes avant un lancement de produit en 1984, 1988 et 1998. Quelques minutes avant que Steve Jobs entre en scène et devienne l'icône que l'on connait, le film visite une autre scène cachée et claustrophobe où d'autres Steve Jobs contradictoires émergent. Le scénario d'Aaron Sorkin tisse avec intelligence des anecdotes, événements, et petites phrases tueuses pour dresser le portrait d'un homme brillamment faillible. Les dialogues sont quelques fois un peu surchargés, mais ils sont livrés avec une telle justesse par l'ensemble des acteurs qu'ils entraînent le spectateur dans leur rythme et prennent de court quand il s'arrêtent. Michael Fassbender est physiquement très différent de Steve Jobs, mais il réussi à donner un humanité à l'icône comme aucuns de ses prédécesseurs. Danny Boyle joue aussi avec le matérialité physique du film pour donner un ton différent au trois parties. L'image sur l'écran change du grain argentique des années 80 à la précision pixelisés des années 90. Bien sûr, tout n'est qu'une illusion à 100% digitale, mais ce n'est-il pas ce que Jobs nous vend? Bien que le film a déçu au box office US, je pense qu'il ne tombera pas dans l'oubli. Vu au Regal College Station Stadium 14 le 31 Octobre dans la salle 2 avec Susie & Kurtis Wozniak.
La Bande Annonce VOSTF:

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