Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 2ème ANNEE:
2015 @ The Movies Take 118 "The Walk" Philippe Petit's extraordinary 1974 wire walking spectacle was explored in an excellent documentary entitled "Man on Wire" in 2008. Why retelling this story through the prism of fiction? Hollywood's unquenchable thirst for biopics is probably the number one reason. However, beyond the facts of the "coup" already laid out in "Man on Wire," Robert Zemeckis sets out to place the audience on the wire itself. Of course, he sticks to the facts of the event, but avoids the usual biopic tropes. "The Walk" is framed more like a magic trick or a tale which parallels Petit's vision: creating a moment that questions the audience's sense of reality. This choice comes with a certain corniness, just like the intro before a circus act or a street performance. The success of the endeavor rests fully on the quality of the performance itself. Zemeckis' walks a directing tightrope with 3D technology as his balance pole. The result is a tour de force not seen since Scorsese's Hugo Cabret. It is highly-recommended to see "The Walk" on a large format screen (like IMAX) for full effect. After seeing the trailer, I was a bit worried with Joseph Gordon-Levitt portraying a Francophone, but he does a fairly good job with his French dialogue, and gives life to a convincing Gallic obsessive dreamer. My only gripes are with the cheesy post-wire walk scene in a Chinese restaurant and the heavy-handed 9/11 reference at the very end. There was no need to sappily mention (♬ spoiler ♬) Petit's "Forever" pass to the WTF observatory deck. The closing visual of the towers fading to black would have been enough to more subtly connect the 2 events that bookend the existence of the place. However, kudos for not putting us through "the perfunctory end-credit photo gallery sequence of the "real folks" who lived through it" (Hamon, 2015). It would have ruined the magic of the walk done solely "pour la beauté du geste." Experienced Springfield 11 on October 3 in IMAX 3D with Susie & Kurtis Petit.
And now la marche du dream:
2015 se paie un toile 118ème prise "The Walk: Rêver plus Haut" (Sortie le 28 Octobre) Le spectacle extraordinaire donné par le funambule Philipe Petit en 1974 avait déjà été exploré dans un excellent documentaire intitulé "Man on Wire" en 2008. Pourquoi revisiter cette histoire au travers du prisme de la fiction? La soif sans fin d'Hollywood pour les biopics est sans doute la première raison. Cependant, au de là des faits du "coup" déjà décrit dans "Man on Wire," Robert Zemeckis propose de placé le spectateur sur le cable même. Bien sûr, il est fidèle aux événements, mais évite aussi les ressorts habituels du biopic. "The Walk: Rêver plus Haut" est organisé plus comme un tour de magie ou un conte. Ce qui fait écho aux intentions de Petit: créer un moment qui questionne notre sens de la réalité. Ce choix implique un côté un peu ringard et factice, comme l'intro de Monsieur Loyal au cirque ou celle d'un spectacle de rue. Le succès de l'aventure repose intégralement sur la qualité de la représentation elle-même. Zemeckis fait là un travail de mise en scène funambulesque avec la 3D comme seule perche pour garder son équilibre. Le résultat est un tour de force qu'on avait pas vu depuis Hugo Cabret de Scorsese. Il est impératif de voir "The Walk: Rêver plus Haut" sur écran grand format type IMAX pour une expérience totale. Au premier abord, l'idée de voir Joseph Gordon Levitt dans le rôle d'un francophone me laissait dubitative, mais il se débrouille plutôt bien avec ses dialogues en français et campe un rêveur obsessif convainquant. Mes seuls reproches sont la scène soupe au restaurant après le "coup" et la référence trop forcée au 11 septembre. Il était pas utile de mentioner (♬ spoiler ♬) la carte d'accès perpétuel pour l'observatoire du WTC remise à Petit en 74. Le fondu au noir final sur les tours jumelles était suffisant pour relier les deux événements qui marquent l'alpha et l'omega de l'endroit. Cela dit, excellent choix de nous avoir épargné l'album photo des "vrais gens" pendant le générique de fin. Cela aurait gâché la magie de la traversée faite seulement pour la beauté du geste. Vu au Springfield 11 le 3 octobre en IMAX 3D avec Susie & Kurtis Petit.
la bande Annonce en VOSTF:
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