Movie review originally published on Facebook - YEAR 3 - COMPLETE LISTING
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 3ème ANNEE: - LISTE COMPLÈTE
2016 @ The Movies Take 48 "Marguerite" It is a rare occurrence when a French film imports a story from the US to tell it within the context of Gallic culture. Director Xavier Giannoli takes full advantage of the French Roaring 20's (Les Années Folles) to create a believable setting for this story from the other side of the pond. Turning Marguerite's unique lack of musical acumen into a piece of the avant-garde surrealist/anarchist Parisian scene is especially clever. A few years before (1913) the Parisian premiere of Stravinsky's The Rite of Spring caused a actual riot after all. Rather than turning the story into a farcical curiosity, the film is more of somber exploration obsessive neurotic behavior. Surprisingly, while the question of what qualifies as musical and what does not is present, the film seems more interested in visual theatrical representation than music. Marguerite's relationship to opera seems much more rooted in costumes, props and sheet music than actual music. Furthermore, Marguerite's ambiguous servant, Madelbos' obsession with photographing his mistress slowly takes over the story line. By the end, he almost becomes the protagonist or director of the piece and literally stages the demise of the title character. While it does not take away from Catherine Frot's performance that perfectly balances unfazed ridicule and pathological sincerity, it confuses the focus of the film a bit too much. I have an inkling that the upcoming Meryl Streep vehicle about the true New York socialite Florence Foster Jenkins will be a lot more straightforward. Experienced at the Moxie Cinema on April 24 in theater 1 with Anne just a few days before Susie & Jennifer.
2016 se fait une toile 48ème prise "Marguerite" (Sortie française le 16 Septembre 2015) C'est plutôt rare qu'un film français importe une histoire des États Unis pour la réintroduire dans le contexte hexagonal. Cependant, Xavier Giannoli profite pleinement des Années Folles pour créer un contexte français crédible à cette histoire venu du Nouveau Monde. L'idée d'incorporer le manque d'oreille musicale de Marguerite à la scène avant-garde surréalisto-anarchique parisienne est notamment fort bien vu. Quelques années auparavant (1913), la première française du Sacre du Printemps n'avait-elle pas aussi causée une émeute? Mieux que de faire de son histoire un spécimen de ridicule, le film se pose comme une exploration assez sombre de comportments obsessionnels et névrosés. Étonnement, bien que le film questionne ce qui est accepté comme musical ou pas, il semble plus intéressé par la représentation théâtrale visuelle que la musique. La relation de Marguerite à l'opéra semble plus ancrée dans les costumes, accessoires et les partitions en tant qu'objet que dans la musique elle même. De plus, l'obsession photographique du serviteur de Marguerite, Madelbos, envahit peu à peu l'intrigue. Vers la fin, il semble avoir pris le contrôle de l'histoire mettant littéralement en scène les derniers moments de sa maîtresse. Bien que cela n'enlève rien à la performance de Catherine Frot qui trouve l'équilibre parfait entre ridicule assumé et sincérité pathologique, cela jette une certaine confusion sur le but ultime cette histoire. Mon petit doigt me dit que l'imminente version Américaine faite sur mesure pour Meryl Streep, sous le titre de Florence Foster Jenkins, fera moins grande place à l'ambigüité. Vu au Moxie le 24 Avril dans la salle 1 avec Anne et quelques jours avant Susie & Jennifer.
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