Movie review originally published on Facebook - YEAR 3 - COMPLETE LISTING
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 3ème ANNEE: - LISTE COMPLÈTE
2016 @ The Movies Take 31 "Creative Control" The premise of characters dealing with the advent of new virtual reality tech in a close future built expectations of a variation on Spike Jonze's "Her" (2013). However, the film is more akin to an episode of "Mad Men" than an exploration of tomorrow's society. Beyond the shared context of an ad agency, the film is constantly quoting Matthew Weiner's TV series: heavy drinking punctuated by shots of bourbon filling glasses, heavy smoking, unabashed sexism, even a plate of oysters that Roger Sterling could not have said no to. Furthermore, the themes dealt with: consumerism vs. artistic integrity, relationship dynamics, fantasy vs. reality feel re-hashed as a weak satire. The film is also mostly shot in black and white for added nostalgic vibe. Even the tech design choices have been seen before - have you noticed how the current vision of the future is all about transparent devices and floating 3D imagery? It looks cool, but how practical would it be? You are constantly losing your precious cellphone? Let's make it transparent! I think Don Draper would roll around in his grave at the concept. While the film has its moments and is laudable for a directorial debut, it lacks the tortured charisma of John Hamm to virtually resonate. Director Benjamin Dickinson is also the lead of the piece. Maybe he should have relinquished some of his creative control to an actor with a wider range for the part. Experienced at Moxie Cinema the in theater 1 on March 19 with Susie & Kurtis Augmenta.
And now une création française:
2016 se paie une toile 31ème prise "Creative Control" (Pas de sortie française annoncée) L'idée de personnages face à une nouvelle technologie utilisant la réalité virtuelle dans un future proche annonçait une variation de "Her" (2013) par Spike Jonze. Cependant, le film a plus en commun avec un épisode de Mad Men qu'une réelle exploration de la société de demain. Au de là du fait que l'intrigue tourne autour d'une agence de pub, le film cite constamment la série de Matthew Weiner: la picole ponctués de plan de flots bourbon remplissant des verres, la tabagie prononcée, le sexisme décomplexé, et même un plateau d'huitre que Roger Sterling aurait eu du mal à refuser. De plus, les thèmes abordés: consumérisme contre vision artistique, dynamiques relationnelles, fantasme contre réalité sont resservis sous la forme d'une satire faiblarde. Le film est aussi presqu'entièrement en noir & blanc comme pour renforcer l'ambiance nostalgique. Même le choix de design pour la technologie futuriste a un goût de déjà vu - avez-vous remarqué que la vision futuriste dominante repose sur les objets transparents et les images 3D flottantes? Visuellement c'est chic, mais serait-ce bien pratique? Vous avez tendance à perdre votre portable? On vous propose un modèle complètement transparent! Je pense que, rien qu'à l'idée, Don Draper se retournerait dans sa tombe. Bien que le film compte quelques scènes intéressantes et a une certaine ambition pour un premier long-métrage, il lui manque le charisme torturé d'un John Hamm pour vraiment fonctionner. Le réalisateur Benjamin Dickinson tient aussi le rôle principal. Peut-être aurait-il dû laisser un peu le contrôle de sa création à un acteur plus versatile. Vu au Moxie Cinema dans la salle 1 le 19 Mars avec Susie & Kurtis Augmenta.
Désolé pas de bande annonce VOST. frown emoticon
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