Thursday, December 31, 2015

2015 @ The Movies take 149 Star Wars VII: The Force Awakens

Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 2ème ANNEE:


2015 @ The Movies LAST take (#149) "Star Wars: The Force Awakens" The main reason for this second viewing of the box office juggernaut of 2015 was to experience it on IMAX without the floating Japanese subtitles (See review #147 for details). It seemed also fitting to close my 2015 film-going experience with an echo, a sort of coda. After all "The Force Awakens" is built around echoes of the past. Ancient mythical figures that remained asleep for over 30 years are pulled from their slumber by a beeping sphere in a bowler hat, a scavenging nubile with a staff, a helmet-less deserter with a borrowed jacket, a disturbed young fencer with a vintage helmet fetish of the First Order, a brash X-rated pilot who lost his jacket and a bespectacled carrot-like dwarfette in a her first millenium. The best parts of the film shine brighter on IMAX - MORE scavenging of abandoned Star Destroyers, please! Of course, the weaker parts of the piece are also magnified and do not tolerate a second pass - LESS climactic scenes ripped off from Episode V, please! Rest assured, the Force still Wakes Up at the end even though I was getting a tad sleepy. Maybe I should get myself a cute B-B8 alarm clock. I am sure the merch department got me covered on this. By the way the French title reads "Le Réveil de la Force" which is a passable translation, but "Réveil" can translate both as "Awakening" or "Alarm Clock" - I am not even kidding! I will close this lazy non-review with my predictions for Episode VIII: seduced by the dark side of the force, B-B8 goes bad. Quentin Tarantino directs "Star Wars VIII: The Hateful B-B8" entirely set in Mos Eisley Cantina - Mace Windu returns with jerry curls and mystical leather pouch that says "Bad Mother F***ing Jedi."
Experienced at Springfield 11 on December 31 in IMAX 3D with Susie Kanata & Kurtis-8.
And now le retour du réveil:
2015 se Paie un Toile DERNIÈRE prise (n. 149) "Star Wars: Le Réveil de la Force" (Sortie française le 16 Décembre 2015). La raison principale pour ce deuxième visionnage du mammouth du box office 2015 c'était de le voir en IMAX sans les sous-titres japonais flottants (Voir la critique n.147 pour plus de détails). Il semblait aussi bien venu de clore ma cinéphagie de 2015 avec un écho, une sorte de reprise du thème principale. Après tout, "Le Réveil de la Force" n'est autre qu'un échos du passé. D'anciennes figures mythiques endormies depuis plus de 30 ans sont tirées de leur sommeil par une sphère à chapeau melon qui fait "bip," une nymphette fan de recyclage armée d'une lance, un déserteur sans casque vêtu d'un veston de deuxième main, un jeune escrimeur fort dérangé avec une fixation sur les vieux casques de Premier Ordre, un fougueux pilote classé X qui a perdu son veston, et une schtroumpfette binoclarde au teint de carotte qui va sur ses mille ans. Les meilleurs moments du film prennent plus d'ampleur en IMAX - PLUS de pillage de gros vaisseaux abandonnés, s'il vous plaît! Bien entendu, les passages plus faiblards supportent mal une deuxième couche - MOINS de scènes pompeuses calqués sur l'épisode V, s'il vous plaît! Soyez sans craintes, la Force se Réveil quand même à la fin bien que je commençais à bâiller un peu. Peut-être que je devrais m'acheter un B-B8 qui fait réveil matin - je suis sûr que ça doit se trouver. Je vais clore cette critique paresseuse avec mes prédictions pour l'épisode VIII: séduit par le côté obscure, B-B8 devient méchant. Quentin Tarantino met en scène "Le B-B8 Salopard" qui se passe intégralement à l'intérieur de Mos Eisley Cantina - Mace Windu revient avec un coupe afro et une pochette en cuir mythique où il est inscrit "Gros Enfoiré de Jedi." Vu au Springfield 11 le 31 Décembre en IMAX 3D avec Susie Kanata et Kurtis 8.

Wednesday, December 30, 2015

2015 @ The Movies Take 148 The Hateful Eight (70mm Roadshow version)

Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 2ème ANNEE:



2015 @ The Movies Take 148 "The Hateful Eight" (70mm Roadshow version) With his eighth feature, Quentin Tarantino sets aside his notorious harvesting of cinema history a tad to harken back to his own early work. "The Hateful Eight" has a direct formal filiation with "Reservoir Dogs." The setup of each piece is identical: 8 protagonists mostly confined to one room wrestle with treachery and deception. As a an additional nod, Tim Roth &Michael Madsen are in both films. However, the central aspect that ties the two films together is the use of storytelling by the characters to manipulate each other. In "Reservoir Dogs", it is Tim Roth's (Mister Orange) rehearsed anecdote to sell himself as a criminal while being an undercover cop. Here, the unreliable narrative takes the form of a letter and serves more purposes dramatically. This letter also connects to a larger thematic about History present in Tarantino's last two films. The film is not as epic as "Inglorious Basterds" or "Django Unchained", but is a more overtly political film as it confronts diverging points of views about the Civil War and racial issues. Once again, the central element of his cinema is language much more than flying bullets, blood sprays and general mayhem (not that there is a shortage of either). Although the script provides plenty of quotable lines that will bring a smile to the Tarantinophile, the film offers a much darker and cynical outlook than the rest of his filmography which might be a turn off for some. While most of the cast is made up of Tarantino vets with the perfect tongue for his dialogue, Walton Goggins' performance as a southern marauder stands out as a relatively new master of Tarantinese. Jennifer Jason Leigh's extremely physical performance is also very impressive. It may seem illogical to go to extreme length to unearth a widescreen format last used in the 60's - Ultra Panavision 70 - to mostly film inside a mountain haberdashery. Nonetheless, the shots are masterfully constructed and and create a great sense of space. To be noted as well, are the clever use of focus shifts to enhance characters' point of views. The 70mm version brings vibrant colors and striking contrast on the snowy landscape that the digital version will have a tough time matching (see my review of the DLP version). You can literally feel the harshness of the weather with every breath the actors take. Experienced at AMC Town Center 20 on December 30 in theater 12 with Susie Domergue & Kurtis Mannix.




And now les huit haineux:
2015 se paie une toile 148ème prise "Les Huit Salopards" (Version Roadshow en 70mm - sortie française le 6 Janvier) Avec son 8ème film, Quentin Tarantino laisse un peu de côté son habituel jeu de ciné-références pour revisiter ses propres débuts. "Les Huit Salopards" est dans la ligne formelle directe de "Reservoir Dogs." La mise en place est la même: 8 protagonistes confinés dans un seul lieu principal sont aux prise avec la duperie et la trahison. Pour plus de continuité, Tim Roth & Michael Madsen sont dans les deux films. Cependant, l'aspect principal qui relie les deux films est l'utilisation d'histoires et anecdotes par les personnages pour se manipuler. Dans "Reservoir Dogs," c'est par une croustillante anecdote que Tim Roth (M. Orange) parvient à infiltrer le gang de malfrats. Dans ce cas, l'histoire à la véracité douteuse prend la forme d'une missive et sert à encore plus de développements dramatiques. Cette lettre fait aussi raccord avec la thématique historique qui hante les derniers films de Tarantino. Ce long-métrage n'a pas le souffle épic de "Inglourious Basterds" ou "Django Unchained", mais c'est son film le plus ouvertement politique qui confronte des points de vue diamétralement opposés sur la Guerre de Sécession et les problèmes raciaux. Comme toujours, l'élément central de son cinéma reste le language bien plus que le sifflement des balles, les giclées de sang et le chaos généralisé (sans pour autant que tout cela manque à l'appel). Bien que le scénario regorge de répliques mémorables qui feront sourire les tarantinophiles, le film offre un perspective plus sombre et cynique que le reste de sa filmographie qui déplaira peut-être à certain. La distribution comprend presqu'exclusivement des habitués du cinéaste avec une gouaille parfaite pour ses dialogues. Walton Goggins en renégat sudiste sort tout de même son épingle du jeu et émerge en tant que nouveau maître du Tarantinais. Jennifer Jason Leigh fait aussi forte impression avec un jeu extrêmement physique. Il peut sembler illogique de se plier en quatre pour utiliser un format scope abandonné dans les années 60 - Ultra Panavision 70 - pour filmé en grande partie l'intérieur d'une mercerie de montagne. Quoi qu'on en dise, les plans sont construits de main de maître et créent un superbe sens de l'espace. À noter aussi le jeu sur la netteté changeantes des différents plans pour accentuer le point de vue des personnages. La version 70mm a de superbes couleurs et présente de magnifiques contrastes sur les paysages enneigés que la version digitale aura du mal à reproduire (Voir ma critique de la version DLP). On ressent la rudesse du climat à chaque respiration des acteurs. Vu au AMC Town Center 20 Leawood (Kansas) dans la salle 12 le 30 Décembre avec Susie Domergue et Kurtis Mannix.
La bande annonce VOSTF:

Sunday, December 20, 2015

2015 @ The Movies Take 147 Star Wars: The Force Awakens

Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critique cinéma d'abord publiée sur Facebook - 2ème ANNEE:


2015 @ The Movies Take 147 "Star Wars: The Force Awakens" Christmas releases tend to be family-friendly, this entry is, however, a prime example of parenting gone wrong. A power couple's marriage goes awry - a union doomed from the start when you employ Ewoks as wedding planners (see episode VI). Instead of engaging in a traditional custody space-battle, the parents give their first born in the care of a mystic hooded uncle who seems to enjoy the company of glow-in-the dark ghosts more than real folks. As expected, the uncle's questionable parenting skills have a devastating effect on the youth who turns FORCEfully to militarized space delinquency. The original trilogy characters seem at a complete loss when it comes to their offsprings. Good thing they are just around to pass the baton: the true stars of the film are the newcomers - BB-8, Daisy Ridley (Rey) & John Boyega (Finn)- who inject energy and fun in this engaging space epic. Like he did with "Star Trek" (2008), J. J. Abrams successfully blends grandiose space adventure with witty character moments. The feel of the original trilogy is preserved, but there is also enough novelty to draw new converts. Now, when "Star Trek" managed to maintain a balance of drama and humor throughout, the dark climax of "The Force Awakens" lacks the energy of its first half. Its impact is even undercut by the conclusion that feels in a hurry to prime episode VIII rather than providing closure. Despite its successful departure from the dreadful second trilogy, I wonder if the witty action adventure cocktail brought back to life with the Star Trek reboot and served since then with every Marvel movies (Iron Man, Avengers, Guardians of the Galaxy etc...) has become too much of a recipe. "Mmmmmh... Lightness the order of the day seems to be, but Darkness dealt with needs to be as well" (Yoda, 1980). One last spoiler: BB-8 is for sure the offspring of EVE and WALL-E. Experienced at 新宿バルト9 (Wald9 Shinjuku) on December 20 in theater 6 in 3D.



And now la force française.

2015 se paie une toile 147ème "Star Wars: Le Réveil de la Force" (Sortie française le 16 Décembre 2015). Les films de Noël sont souvent destinés à un public familial. Celui-ci, cependant, est un exemple criant d'une famille en plein dysfonctionnement. Le mariage d'un couple de puissants bat de l'aile - c'était couru quand on emploie des Ewoks pour organiser les noces (voir épisode VI). Au lieu de s'adonner à une lutte spatiale pour la garde des enfants, les parents mettent l'éducation de leur rejeton entre les mains d'un oncle mystique encapuchonné qui semble préférer la compagnie de fantômes fluos plutôt que celle de ses semblables. Le résultat est sans surprise, le tonton ne peut empêcher la dérive vers la délinquance militaro-spatiale du gamin, FORCÉment. Les personnages de la série originale ne semblent pas du tout savoir gérer leurs progénitures. Heureusement qu'ils sont juste là pour passer le relais: les vrais stars du film sont les nouvelles têtes - BB-8, Daisy Ridley (Rey) & John Boyega (Finn) - qui injectent une dose d'énergie et d'humour à cette séduisante épopée spatiale. Comme il avait fait avec "Star Trek" (2008), J.J. Abrams parvient à allier la grandiose aventure spatiale sans perdre de vue les personnages et leur échanges savoureux. Le ton de la trilogie originale est préservé, mais il y a assez d'idées fraiches pour conquérir de nouveaux fans. Néanmoins, là où Star Trek (2008) maintenait l'équilibre entre gravité et humour, le point d'orgue sombre du "Réveil de la Force" n'a pas l'énergie du premier acte. Son impact est même mis de côté durant la conclusion qui semble plus un prétexte pour lancer l'épisode VIII qu'un vrai dénouement. Malgré le pari réussi de nous faire oublier l'horrible seconde trilogie, j'en viens à me demander si ce cocktail action grand format avec dialogues décalés, remis au goût du jour avec "Star Trek" et resservi par chaque nouveau film Marvel (Iron Man, Avengers, Les Gardiens de la Galaxie etc...), ne devient pas une recette facile. Comme dirait Yoda: "Mmmmh... La Légèreté au goût du jour se trouve, mais l'Obscurité aussi doit l'être." Un dernier spoiler: BB-8 est sans aucun doute le fils de EVE et WALL-E. Vu au Wald 9 Shinjuku dans la salle 6 en 3D le 20 Décembre.
La bande annonce en VF:

Tuesday, December 8, 2015

2015 @ The Movies Take 146 The Hunger Games: Mockingjay – Part 2

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2015 @ The Movies Take 146 "The Hunger Games: Mockingjay – Part 2" The last chapter of the franchise opens seconds after the previous installment ended. A slew of characters, that we are meant to remember, pop in during the first scenes to comment on the situation. For casual viewers of the series, like me, it is a challenge to remember them all. Therefore, it creates an unintended disjointed effect. Maybe a foreshadowing of the last act of the piece that takes a weird turn pitting our heroes against slimy zombies, tar tsunamis and unlikely boobytraps. The only thematic constant is Peeta's bondage dilemma. Katniss' tragic disturbed love interest starts strapped to a bed and goes through various stages of handcuffing as he earns the trust of the other Hunger Gamers. When the series reaches its climax, Peeta (*Spoiler*) earns his full redemption and finally beds Ms. Everdeen in a blurry halo reminiscent of David Hamilton. The sheets maybe of rustic linen, but the headboard is of an elegant copper color wrought iron. The perfect design for Katniss to whip out the handcuffs one last time... not quite. We came so close to "50 shades of Mockingjay..." Oh, and Philip Seymour Hoffman says goodbye one last time. Experienced at Springfield 11 in IMAX on December 8 with Susie Everdeen & Kurtis Mellark.




And now les jeux de la faim, dernière: 
2015 se paie une toile 146ème prise "The Hunger Games: La révolte Partie 2" (Sortie française le 18 Novembre 2015) L'ultime chapitre de la série débute quelques secondes après la fin du numéro précédant. Une flopée de personnages, dont on est sensé se souvenir, défile pour commenter la situation. Pour un spectateur peu assidu, comme moi, il est assez difficile de se rappeler qui est qui. Du coup ça crée une certaine incohérence involontaire. Peut être un présage du dernier acte où le film prend un virage stylistique en confrontant nos héros à des zombies gluants, un tsunami de goudron liquide et autres pièges improbables. La seule constante thématique c'est le dilemme autour du ligotage de Peeta. Le grand amour tragique et troublé de Katniss commence attaché sur un lit et passe son temps plus ou moins menotté à mesure qu'il gagne la confiance des autre Hunger Gamers. Quand la série atteint son apogée, Peeta (*Spoiler*) gagne sa rédemption et se met enfin en couche avec Mlle Everdeen dans un flou artistique à David Hamilton. Les draps sont peut-être en toile rustique, mais le lit en fer forgé aux reflets de cuivre est pourvu d'élégants barreaux. La parfaite occasion pour Katniss de sortir les menottes une dernière fois... et ben même pas. On est passé tout prêt de "50 Nuances de Mockingjay..." Oh, et Philip Seymour Hoffman tire sa révérence pour de bon. Vu au Springfield 11 en IMAX le 8 Décembre avec Susie Everdeen et Kurtis Mellark.
La bande annonce VF:

Saturday, December 5, 2015

2015 @ The Movies Take 145 Creed

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2015 @ The Movies Take 145 "Creed" What could have been the tired spinoff of a - literally - dying film franchise, stands on its own as a very solid film until the last round. More than a boxing film, African American director and co-writer Ryan Coogler portrays a black youth struggling to shape his identity in spite of an absent father. When "Rocky" originally came out, the Apollo Creed character was a way in for the African American audience. It is high time the black hero be front and center. Michael B Jordan's performance will make you forget the painful "Fantastic Four" and harkens back to Wallace in season one of The Wire. Adonis Creed stands with rogue stormtrooper Finn as the great black movie characters of 2015 : strong, smart and multifaceted. Experienced at Regal College Station Stadium 14 in Auditorium 14 on December 5.



And now on va au tapis: 
2015 se paie une toile 145ème prise "Creed: L'héritage de Rocky Balboa" (Sortie française le 13 Janvier 2016). Ce qui aurait pu être la suite fatiguée d'une série - c'est le cas de le dire - mourante, est au contraire un film efficace qui tient le coup jusqu'au dernier round. Plus qu'un film de boxe, le réalisateur et co-scénariste Afro-Américain Ryan Coogler dresse le portrait d'un jeune noir luttant pour se forger une identité malgré un père absent. À la sortie de "Rocky", le personnage d'Apollo Creed était un point d'entrée pour le public afro-américain. Il est grand temps que le héros noir ait le rôle central. L'interprétation de Michael B. Jordan vous fera oublier le pénible "4 Fantastiques" et fera échos au jeune Wallace de la saison 1 de "The Wire." Adonis Creed, aux côtés de Finn, le stormtrooper déserteur de Star Wars VII, sont les meilleurs personnages blacks de cinéma de 2015: forts, intelligents et aux multiples facettes. Vu au Regal College Station Stadium 14 le 5 Décembre dans la salle 5.
La bande annonce VF:

Friday, December 4, 2015

2015 @ The Movies Take 144 Trumbo

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2015 @ The Movies Take 144 "Trumbo" The film is a great document about artistic freedom crushed by a political agenda gone awry. The interweaving of authentic and reenacted newsreels and film scenes works very well in the first half of the film. However, the later portion takes on a more conventional biopic form. The film is evidently a Bryan Cranston showcase in his first movie leading role. By that token, it feels a bit unfair to have cast him alongside Louis C.K. whose acting chops are not as convincing. In the end, we get a decent film when we had the ingredients for a great one. Experienced at Wehrenberg Campbell 16 Cine in theater 9 on December 4 with Susie & Kurtis Trumbo.



And now la chasse aux sorcières: 
2015 se paie une toile 144ème prise "Dalton Trumbo" (Sortie française le 27 Avril 2016) ou quand la liberté artistique est écrasée par une machine politique partie en roue libre. Le mélange de documents d'actualités et d'extraits de films authentiques et rejoués fonctionne très bien sur la première moitié du film. Cependant, la dernière partie prend la forme d'un biopic plus conventionnel. Le tout est, bien évidemment, du sur mesure pour Bryan Cranston qui tient là son premier grand rôle au cinéma. Il semble alors un peu injuste de lui opposer Louis C.K. qui est loin d'avoir la même versatilité. Au final, les ingrédients étaient réunis pour un excellent film, mais on doit se contenter d'un film tout juste bon. Vu au Campbell 16 Cine le 4 Décembre dans la salle 9 avec Susie et Kurtis Trumbo.
La bande annonce VOSTF: