Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critiques cinémas d'abord publiées sur Facebook - 2ème ANNEE:
2015 @ The Movies Take 116 "Everest" Most biopics focus on individuals that have achieved something - if not heroic, at least memorable. The group of mountain climbers portrayed in Baltasar Kormákur's Everest participated in the ill-advised commercialization of the Roof of the World as an extreme tourism destination. They are neither heroic, nor extraordinary, just the selfish costumers of misguided entrepreneurs. That would be fine if the piece commented on the absurdity of the their recklessness. Unfortunately, the film painfully tries to show them as tragic figures by framing the narrative with selectively manipulative backstories. Out of 10 climbers featured prominently, only 3 who have left children behind are given backstories - because if they die, then we stand at the ready to tear-jerk. What a waste of a great cast! This sappy ruse reaches a peak (Ha! Ha!) with the perfunctory end-credit photo gallery sequence of the "real folks" who lived through it. The very last picture (♬ spoiler ♬) is of a young girl who was not even born at the time of the event... ♬cue violin♬... However, the only reason why these folks are dying on IMAX 3D is because of the true protagonist of the story: Mount Everest. If their escapade had taken place anywhere below 29,029 feet, they would have remained a footnote on Wikipedia. It is also the best part of the film, the vistas are truly breathtaking and the majestic forces of nature well brought to life on the screen. Too bad the humans in the frame are so uninteresting. For a for more human mountain-climbing tale, read Jiro Taniguchi's manga series "The Summit of the Gods" Experienced at Springfield 11 on September 27 in IMAX 3D.
And now the Toit du Monde:
2015 se paie une toile 116ème prise "Everest" (Sortie le 23 Septembre) La plupart des biopics s'intéressent à des individus qui ont accompli quelque chose sinon héroïque, d'au moins mémorable. Le groupe de grimpeurs mis en scène par Baltasar Kormákur ont participé à la douteuse commercialisation du Toit du Monde comme destination de tourisme extrême. Ils ne sont ni héroïques, ni extraordinaires, ils sont juste les clients égoïstes d'entrepreneurs sans scrupules. Un sujet au demeurant intéressant si il avait exploité par le film dans toute son absurde témérité. Malheureusement, il s'évertue plutôt à s'inventer des figures tragiques à coup de détails personnels judicieusement placées. Sur les 10 aventuriers des montagnes, on explore la vie de seulement 3 d'entre eux car ils ont chacun des enfants qui les attendent à la maison - en cas de fatalité on sera sur qui pleurer. Dommage, y' avait mieux à faire avec une telle distribution. Cette ruse sirupeuse atteint des sommets (Ha! Ha!) avec le poncif des biopics, j'ai nommé l'album photo des "vrais gens" pendant le générique de fin. La dernière image est celle d'un jeune fille (♬spoiler♬) qui n'était même pas née à l'époque ... ♬envoyez les violons♬... En fait, l'unique raison pour laquelle ces bonnes gens sont sur grand écran en 3D c'est à cause du vrai protagoniste de l'histoire: Le Mont Everest. Si leur escapade s'était déroulée en dessous de 8848 mètres, ils ne seraient qu'une note de bas de page sur Wikipedia. C'est aussi la seule qualité du film, les paysages sont magnifiques et les éléments déchaînés très bien mis en images. Dommage que les bons hommes dans le champ soient si ennuyeux. Pour une approche au combien plus humaine de l'escalade de haute montagne, lisez plutôt la série de manga "Le Sommet des Dieux" de Jiro Taniguchi. Vu au Springfield 11 le 27 septembre en IMAX 3D.
La Bande Annonce en VOSTF:
La Bande Annonce en VOSTF:
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