Sunday, September 27, 2015

2015 @ The Movies Take 116 Everest

Movie review originally published on Facebook - YEAR 2
Critiques cinémas d'abord publiées sur Facebook - 2ème ANNEE:


2015 @ The Movies Take 116 "EverestMost biopics focus on individuals that have achieved something - if not heroic, at least memorable. The group of mountain climbers portrayed in Baltasar Kormákur's Everest participated in the ill-advised commercialization of the Roof of the World as an extreme tourism destination. They are neither heroic, nor extraordinary, just the selfish costumers of misguided entrepreneurs. That would be fine if the piece commented on the absurdity of the their recklessness. Unfortunately, the film painfully tries to show them as tragic figures by framing the narrative with selectively manipulative backstories. Out of 10 climbers featured prominently, only 3 who have left children behind are given backstories - because if they die, then we stand at the ready to tear-jerk. What a waste of a great cast! This sappy ruse reaches a peak (Ha! Ha!) with the perfunctory end-credit photo gallery sequence of the "real folks" who lived through it. The very last picture (♬ spoiler ♬) is of a young girl who was not even born at the time of the event... ♬cue violin♬... However, the only reason why these folks are dying on IMAX 3D is because of the true protagonist of the story: Mount Everest. If their escapade had taken place anywhere below 29,029 feet, they would have remained a footnote on Wikipedia. It is also the best part of the film, the vistas are truly breathtaking and the majestic forces of nature well brought to life on the screen. Too bad the humans in the frame are so uninteresting. For a for more human mountain-climbing tale, read Jiro Taniguchi's manga series "The Summit of the Gods" Experienced at Springfield 11 on September 27 in IMAX 3D. 



And now the Toit du Monde:
2015 se paie une toile 116ème prise "Everest" (Sortie le 23 Septembre) La plupart des biopics s'intéressent à des individus qui ont accompli quelque chose sinon héroïque, d'au moins mémorable. Le groupe de grimpeurs mis en scène par Baltasar Kormákur ont participé à la douteuse commercialisation du Toit du Monde comme destination de tourisme extrême. Ils ne sont ni héroïques, ni extraordinaires, ils sont juste les clients égoïstes d'entrepreneurs sans scrupules. Un sujet au demeurant intéressant si il avait exploité par le film dans toute son absurde témérité. Malheureusement, il s'évertue plutôt à s'inventer des figures tragiques à coup de détails personnels judicieusement placées. Sur les 10 aventuriers des montagnes, on explore la vie de seulement 3 d'entre eux car ils ont chacun des enfants qui les attendent à la maison - en cas de fatalité on sera sur qui pleurer. Dommage, y' avait mieux à faire avec une telle distribution. Cette ruse sirupeuse atteint des sommets (Ha! Ha!) avec le poncif des biopics, j'ai nommé l'album photo des "vrais gens" pendant le générique de fin. La dernière image est celle d'un jeune fille (♬spoiler♬) qui n'était même pas née à l'époque ... ♬envoyez les violons♬... En fait, l'unique raison pour laquelle ces bonnes gens sont sur grand écran en 3D c'est à cause du vrai protagoniste de l'histoire: Le Mont Everest. Si leur escapade s'était déroulée en dessous de 8848 mètres, ils ne seraient qu'une note de bas de page sur Wikipedia. C'est aussi la seule qualité du film, les paysages sont magnifiques et les éléments déchaînés très bien mis en images. Dommage que les bons hommes dans le champ soient si ennuyeux. Pour une approche au combien plus humaine de l'escalade de haute montagne, lisez plutôt la série de manga "Le Sommet des Dieux" de Jiro Taniguchi. Vu au Springfield 11 le 27 septembre en IMAX 3D.
La Bande Annonce en VOSTF:

Saturday, September 26, 2015

2015 @ The Movies Take 115 Princess Bride (1987)

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2015 @ The Movies Take 115 The Princess Bride (1987) I had never seen this film before. I had heard of it, but not seen it. It is always tricky to experience a cult or beloved movie 28 years after the fact. Repeat viewers often re-connect with their original experience of the film rather than the film itself. There is nothing wrong with that. However, as a first timer, it did not enthrall me. I can imagine that in a pre-Shrek world, it felt more groundbreaking with its ironic comments on the fairy tale tropes. I still found the framing device of gramps reading a book to his grandkid rather corny. The humor felt timid, trying to be absurd but not taking the extra leap necessary, like The Monty Python 12 years before with what is still the Holy Grail of medieval nonsense. I am still glad I saw it for my personal cultural breadth. Experienced at Moxie Cinema the on September 26 in theater 2.



And now la princesse bouton d'or:
2015 se paie une toile 115ème prise "Princess Bride" (Sortie française le 19 mars 1988) je n'avais jamais vu ce film. J'en avais entendu parlé, mais ne l'avais jamais vu. C'est toujours délicat de voir un film culte ou adulé 28 ans après sa sortie. Les fans de la premières heures sont venus pour renouer avec l'experience originale plus que le film lui-même. C'est pas un problème. Cependant, en tant que nouveau spectateur, cela ne m'a pas transcendé plus que ça. J'imagine que dans le monde d'avant Shrek, le côté conte irrévérencieux avait plus d'originalité. Je trouve tout de même que le prétexte du pépé lisant un livre à son petit fils est assez cul-cul. L'humour est assez timide: on s'essaye un peu à l'absurde mais sans jamais sortir des lignes, comme l'avait fait les Monty Python 12 plus tôt avec le Saint Graal du non-sens médiéval. Je suis quand même content de l'avoir vu, ne serait-ce que pour ma culture générale. Vu au Moxie Cinema le 26 Septembre dans la salle 2.
La bande annonce VF:

Friday, September 25, 2015

2015 @ The Movies Take 114 The Perfect Guy

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2015 @ The Movies Take 114 "The Perfect Guy" Empowered females being threatened by toxically sexy male predators seems to be a sub-genre in African-American productions. Last year, "No Good Deed" led the pack of this niche. It was also my worst-pick of 2014. To remain objective, I had to give the genre another try with this cliché-heavy entry. The Perfect Guy delivers a more believable situation. If one ignores just a couple of glaring inconsistencies, it is a solid late-night TV movie. A couple of suggestions if you are ever stalked by a murderous blue-eyed gorgeous hunk with mad computer skills: #1 changing your home and cellphone numbers is a great idea. However, changing the locks of your high-end villa and not keeping a spare key under a rock in a flowerbed should also be on top of your list. #2 When your stalker emails a clip of you having sex with your ex-beau to everyone you work with from your email account, for your defense, check the timestamp of the email - there is a chance you did not send it because, well, you were busy having sex that night... Considering the improvement over last year's contender, there is hope for 2016! Experienced at Regal College Station Stadium 14 on September 25 in auditorium 2 (Susie, that's a small size theatre with 103 seats. The best seats are the wheel-chair-accessible single seats in the main aisle. The screen is good, no stain or puncture. The Audio is solid, no crackling noise. Pre-show is centered.)



And now du français parfait:
2015 se paie une toile 113ème prise "The Perfect Guy" (Sortie le 18 Novembre 2015) Les histoires de femmes de tête sous l'emprise d'un beau mâle diablement sexy aux instincts de prédateur semble être un sous-genre des productions afro-américaines. L'an dernier, "Double Trahison" (No Good Deed) était le grand fauve de cette niche. C'était aussi mon plus mauvais film de 2014. Pour préserver mon objectivité, il me fallait revisiter ce genre une nouvelle fois avec ce film qui s'annonçait lourd de clichés. The Perfect Guy est en fait plus crédible. Si on laisse de côté deux ou trois énormes faux-pas scénaristiques, c'est un honnête téléfilm de fin de soirée. Quelques suggestions si vous êtes traquée par un très beau meurtrier aux yeux bleus super-calé en informatique: n.1 changer de numéro de portable et de fixe est une bonne idée. Cependant, changer les serrures de votre luxueuse villa et éviter de laisser une clé sous un caillou dans le bac à géranium est aussi recommandé. n.2 Quand votre prédateur utilise votre email pour envoyer une vidéo de vos ébats avec un ex à tout vos collègues de bureau, pour votre défense, vérifiez quand l'email a été envoyé. Il y a des chances que vous n'étiez pas à votre ordi à ce moment là parce que vous étiez occupé... au lit avec votre ex... Si on prend en considération la progression par rapport à l'an dernier, il y a de l'espoir pour 2016. Vu au Regal College Station Stadium 14 le 25 septembre dans la salle 2.
Bande annonce VOSTF:

2015 @ The Movies Take 113 Infinitely Polar Bear

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2015 @ The Movies Take 113 "Infinitely Polar Bear" Yet another family drama set in the 70's, when things were somewhat looser and inappropriate... What makes Maya Forbes' directorial debut stand out is definitely Mark Ruffalo's performance. His portrayal of a manic-depressive father elegantly blends childish enthusiasm and heartbreaking despair without sinking into Oscar-baiting sappiness. The two young actresses portraying his daughters also bring a charming energy to the piece. Zoe Saldana does a fair job as the bread-winning mom, but she is a bit too gorgeous for the part. The feminist themes are a tad heavy-handed at times, but it is still a respectable effort. On a different note, the "French" title is beyond ridiculous (see below). Experienced at Moxie Cinema on September 25 in theater 1. 




And now du français "cool":
2015 se paie une toile 113ème prise "Daddy Cool" (Sortie le 15 Juillet 2015) Et voilà un autre drame familial se passant dans les années 70, quand tout était plus "cool" et un peu transgressif... Ce qui permet au premier film de Maya Forbes de sortir son épingle du jeu est sans aucun doute l'interprétation de Mark Ruffalo. Il campe un père maniaco-dépressif en mêlant élégamment un enthousiasme enfantin et un désespoir profond sans jamais aller à la pèche à l'Oscar. Les deux jeûnes actrices qui jouent le rôle de ses filles amènent aussi une charmante énergie au film. Zoe Saldana est pas mal en mère qui doit pourvoir pour sa famille, mais elle est un peu trop super-canon pour le rôle. Les thèmes féministes du film manquent parfois un peu de subtilité, mais ça reste un effort louable. Vu au Moxie Cinema le 26 septembre dans la salle 1. C'est quoi ce titre français à la mord-moi-le-noeud? Le jeu de mot du titre original n'est pas si intraduisible... bah!
Bande annonce VOSTF:

Tuesday, September 22, 2015

2015 @ The Movies Take 112 Maze Runner: The Scorch Trials

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2015 @ The Movies Take 112 "Maze Runner: The Scorch Trials" What made the first installment of this YA saga mildly intriguing was the MAZE. Young people trapped in a inexplicably dangerous maze: It's fairly basic, but The Twilight Zone feel balanced the overall blandness of the stereotypical super-PC cast. Now comes part two which is basically the same minus the Maze... When the haphazard progression of the plot was somewhat structured by the ever shifting labyrinth, that framework is now gone. The young'uns run around like headless chickens across zombie-laden deserts and dangerously horizontal skyscrapers toward some mountain and back... Good thing they brought flash lights and canteens! The protagonists who are sacrificed early in the film (♬ spoiler ♬) have a clear advantage over the audience: they don't have to trudge through this 2 hour and 11 minute ordeal, sorry... trial. Catch it only if you have a very long plane ride and no other choice. Experienced atRegal College Station Stadium 14 on September 22 in Auditorium 8 withSusie & Kurtis Partridge.



And now le réchauffement climatique:
2015 se paie une toile 112ème prise "Le Labyrinthe: La Terre brûlée" (Sortie le 7 Octobre) Ce qui rendait le premier volet très marginalement intriguant c'était le LABYRINTHE. Une bande de jeunes coincée dans un labyrinthe bizarrement dangereux: C'est pas révolutionnaire, mais le côté "Quatrième Dimension" faisait passer outre la distribution insipide et super politiquement correcte. Nous voilà au second chapitre qui remet le couvert mais sans le labyrinthe... Quand la progression à l'aveuglette de l'histoire était plus ou moins guidée par la structure en mouvement du labyrinthe, c'en est fini dans la deuxième partie. Les d'jeun's courent maintenant comme des poulets étêtés au travers de déserts infestés de zombies et autre gratte-ciels dangereusement horizontales vers je ne sais quelle montagne et vice versa... Heureusement qu'ils ont emporté des gourdes et des lampes de poche! Les protagonistes qui sont sacrifiés au début du film (♬ spoiler ♬) ont un avantage certain sur le public: ils n'ont pas à se taper cette épreuve de 2 heures et 11 minutes. À voir seulement en avion si vous avez très long vol et pas le choix. Vue au Regal College Station Stadium 14 le 22 septembre dans la salle 8 avec Susie & Kurtis Partridge.
La bande annonce VF:

Saturday, September 19, 2015

2015 @ The Movies Take 111 Streets of Fire (1984)

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2015 @ The Movies Take 111 "Streets of Fire" (1984) The Pitch: Somewhere in late 1959, early 1984, a female rock start gets kidnapped during a live concert by a biker in leather overalls to "fall in love for a day or two." Brave Ex-beau rides a subway back in town to save rock goddess from clutches of biker aided by a female army buddy, a bow-tied nerd, Sarah Connor and a moon-walking doo wop quartet. In the end (♬ spoiler ♬), rock diva is saved and goes back to singing for the soulless record industry. Male lead doesn't get the girl, but hop in a stolen convertible with the army brat who can change tires like no other. ♫ Tonight is what it means to be young ♫ Nothing to add. Thank you Mondo Moxie for this beautiful moment. Experienced at Moxie Cinema on September 19 in theater 2 with Susie Aims (one of the 5 finalists of the Mondo Moxie Quiz!) & Kurtis Cody.
And now on met le feu:
2015 se paie un toile 111ème prise "Les Rues de Feu" (Sorti le 24 Novembre 1984) L'accroche: Quelque part début 1959, fin 1984, une star du rock se fait enlever pendant un concert par un motard en salopette de cuire qui veut "tomber amoureux pendant un jour ou deux." Un brave Ex-amant débarque en ville en métro pour sauver la déesse rock'n roll de l'emprise du méchant motard avec l'aide d'une copine d'armée, un crétin en noeud pap, Sarah Connor et une quartet de doo wop qui maîtrise le moon-walk. À la fin (♬ spoiler ♬), la diva est sauvée et retourne à sa carrière: exploitée par l'industrie du disque. Son sauveur ne tombe pas la fille, mais saute dans une décapotable volée avec la copine de régiment qui sait changer un pneu comme personne. ♫ Tonight is what it means to be young ♫ Rien à ajouter. Merci Mondo Moxie pour cette agréable moment. Vu au Moxie Cinema le 19 septembre dans la salle 2 avec Susie Aim (une des 5 finalistes du Mondo Moxie Quiz!) et Kurtis Cody.
Désolé pas de bande annonce VOSTF frown emoticon

Friday, September 18, 2015

2015 @ The Movies Take 110 Black Mass

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2015 @ The Movies Take 110 "Black Mass" It is the third time Johnny Depp portrays a real-life criminal - Blow (2001), Public Enemies (2009) - and once again the film relies too much on his transformative performance, but fails to flesh out the characters. In spite of a solid cast and slick gritty 70-80's look, the film fails to engage the audience. The Boston criminal element has been explored before with much greater success in "Mystic River" or "Gone Baby Gone". In the end, Black Mass feels like a flat rehash of "The Departed." Unfortunately, Scott Cooper is no Martin Scorsese. Experienced at Regal College Station Stadium 14 on September 18 in auditorium 1 with Susie Bulger.




And now la Messe Noire, no, wait the French title is "Strictly Criminal"!
2015 se paie une toile 110ème prise "Strictly Criminal" (Sortie le 25 Septembre - la "traduction" du titre me laisse quoi, le titre original signifiant "Messe Noire") C'est la troisième fois que Johnny Depp joue le rôle d'un véritable criminel - Blow (2001), Public Enemies (2009) - et une fois de plus, le film se repose sur sa performance d'acteur caméléon, mais n'investit pas dans ses personnages. Malgré un belle distribution et une ambiance années 70-80 léchée, le film laisse froid. Le milieu criminel de Boston a déjà été porté à l'écran avec bien plus de brio dans des films comme "Mystic River" ou "Gone, Baby Gone." En fin de compte Strictly Criminal n'est qu'une redite peu inspirée de "The Departed" (Les Infiltrés). Malheureusement Scott Cooper n'est pas Martin Scorsese. Vu au Regal College Station Stadium 14 le 18 septembre dans l'auditorium 1 avec Susie Bulger.
La bande annonce en VOSTF:
https://youtu.be/_5Cb4FTw18Y

Sunday, September 13, 2015

2015 @ The Movies Take 109 Digging for Fire

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2015 @ The Movies Take 109 "Digging for Fire" As much as Joe Swanberg's previous effort "Drinking Buddies" was not really about drinking, this film is not about digging. Rather it is a look at parenthood and its influence on a couple's identity. Through seemingly disconnected encounters the lead characters test the limits of their freedom as parents and spouses. It is an interesting attempt that sometimes feels a bit disjointed, but is still worth your time. Experienced at on September 14 in theater 2.
And now on creuse en français:
2015 se paie une toile 109 ème prise "Digging for fire" (pas de sortie française annoncée) Comme le film précédent de Joe Swanger "Drinking Buddies" ne s'intéressait pas seulement à la consommation d'alcool, ce long métrage n'est pas qu'une fouille archéologique. C'est en fait une exploration de la crise identitaire de jeunes parents. Au travers de rencontres qui semblent sans rapport direct les protagonistes testent les limites de leur liberté en tant que parents et époux. C'est une idée intéressante qui manque quelque fois un peu de cohésion, mais qui vaut quand même le détour. Vu au Moxie Cinema le 13 septembre dans la salle 2.
Désolé pas de bande annonce VOSTF frown emoticon

2015 @ The Movies Take 108 Steve Jobs: Man in the Machine

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2015 @ The Movies Take 108 "Steve Jobs: The Man in the Machine.This documentary is a well-balanced exploration of the man behind the icon. The piece doesn't overlook Jobs' vision and achievements, but doesn't shy away from his questionable sense of ethics or his often destructive relentlessness. It also goes beyond its subject by striving to understand the root of the fascination that has become synonymous with the name "Steve Jobs" and the famed forbidden fruit. Ultimately, it invites us to question our behavior as consumers. The above paragraph was typed on a wireless Apple keyboard connected to a 27-inc IMAC running OSX Yosemite. Experienced at Moxie Cinema on September 13 in theater 1. 




And now la pomme dans la machine:
2015 se paie une toile 108ème prise "Steve Jobs: Man in the Machine" (Pas de sortie française annoncée). Ce documentaire propose en exploration sans apriori de l'homme derrière l'icône. Le film n'ignore pas la vision et les coups de génie de Jobs, mais ne fait pas l'impasse non plus sur sons sens éthique à géométrie variable ou son arrivisme destructeur. Le documentaire dépasse aussi son sujet en essayant de mettre à jour les raisons de la fascination qu'exerce toujours Steve Jobs et le fameux fruit défendu. En somme, il nous invite à remettre en question nos comportements de consommateurs. Le paragraphe ci-dessus a été tapé sur un clavier sans file Apple connecté a un Imac 27 pouces tournant sous OSX Yosemite. Vu au Moxie Cinema le 13 septembre dans la salle 1.
Désolé pas de bande annonce VOSTF.

Saturday, September 12, 2015

2015 @ The Movies Take 107 The Lion in Winter (1968)

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2015 @ The Movies Take 107 The Lion in Winter (1968 film). The screenplay for this historical drama classic is adapted from a play, and the film version does not hide it. It even basically sticks to the classical theater unities (time, place & action) and is dialogue-driven to the core. When the film dispenses with any hollywood embellishments in its representation of a medieval court (raw stone walls, muddy and drafty hallways...), the dialogue is packed with modern and even slightly anachronistic wit. It's a bit like watching a 1183 version of The West Wing where the political power play is driven by delicious verbal jousting. Of course, with such a cast, the script needed to be iron-clad. Experienced at Moxie Cinema on September 12 in theater 2 with Terry Sans Terre & Jennifer d'Aquitaine.
https://youtu.be/5cVwBjwRGgg




And now live from le Château de Chinon:
2015 se paie une toile 107ème prise: "Le Lion en Hiver" (sortie française le 17 décembre 1969) Le scénario de ce classique du drame historique est tiré d'une pièce de théâtre, et le film ne s'en cache pas. Il adhère même pratiquement à la règle des trois unités du théâtre classique (temps, lieu, action) et repose intégralement sur les dialogues. Quand le film ne tombe pas dans le clinquant hollywoodien dans sa représentation d'une court médiévale (murs de pierre brutes, couloirs boueux et glacés....), les dialogues regorgent de répliques cinglantes très modernes et même un peu anachroniques. C'est comme la version 1183 de "À la maison blanche" (The West Wing) où les jeux de pouvoir sont de délicieuses joutes verbales. Bien entendu, avec une telle distribution, le scénario se devait d'être à toute épreuve. Vu au Moxie Cinema le 12 septembre dans la salle 2 avec Terry Sans Terre & Jennifer d'Aquitaine.
Désolé pas de bande annonce VOSTF. frown emoticon


Sunday, September 6, 2015

2015 @ The Movies Take 106 Mistress America

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2015 @ The Movies Take 106 "Mistress America" This feels a bit like a super-hero movie directed by Woody Allen in which the heroin's super-power is (failure-prone) ambition. Greta Gerwig and Lola Kirke make a funny dynamic duo cosplaying as sisters. Brooke (Gerwig) wraps herself in a unstoppable public persona that unravels when her "new sister", Tracy (Kirke) hijacks Brooke's narrative to reveal her inner flawed Clark Kent. ThisNoah Baumbach film is a more convincing followup to the great "Frances Ha" than the flawed "While We're Young". Experienced at Moxie Cinema on September 6 in theater 1.



And now Mistress France:
2015 se paie un toile 106ème prise "Mistress America" (pas de sortie française annoncée). C'est un peu comme un film de super-héros mis en scène par Woody Allen dans lequel le super-pouvoir de l'héroïne c'est l'ambition (vouée à l'échec). Greta Gerwig et Lola Kirke forment un duo drôle et dynamique de vrai-fausses soeurs. Brooks (Gerwig) impose une personnalité que rien ne semble pouvoir arrêter. Cette identité est pourtant remise en question quand sa "nouvelle soeur", Tracy (Kirke), s'empare de l'histoire de Brooke et révèle qu'elle n'est qu'une "Clark Kent" dérisoire. Ce dernier film de Noah Baumbach est dans la continuité du très bon "Frances Ha" et fonctionne mieux que le plus récent "While We're Young." Vu au Moxie Cinema le 6 septembre dans la salle 1.
Désolé pas de bande annonce VOSTF pour le moment frown emoticon

Saturday, September 5, 2015

2015 @ The Movie Take 105 American Ultra

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2015 @ The Movie Take 105 "American Ultra" The promise of an unusual genre mashup between Clerks and Mission: Impossible doesn't stick the landing as the second half of the film is plagued with cheap spy movie clichés. Too bad because Jesse Eisenberg and Kristen Stewart have an oddly fun chemistry, but they seem to lose interest in their characters midway through. Maybe it's a case of a film that tries way too hard to be a a "cult Classic." Experienced at Regal College Station Stadium 14 on September 5 in Auditorium 11 with Susie & Kurtis Howell.
https://youtu.be/bLGFwkRx2HA




And now French Ultra:
2015 se paie un toile 105ème prise "American Ultra" (Sortie le 19 Août) La promesse d'un film hybride à mi-chemin entre Clerks et Mission Impossible se casse la gueule à l'arrivée à cause d'une deuxième moitié noyée dans les clichés de film d'espionnage à 2 balles. Dommage car Jesse Eisenberg et Kristen Stewart fonctionnent étonnement bien en couple décalé, mais ils semblent se désintéresser de leur personnages après la première heure. C'est sans doute un film qui veut trop se la jouer "film culte." Vu au Regal College Station Stadium le 5 septembre dans la salle 11 with Susie & Kurtis Howell.
La bande annonce VOSTF:
https://youtu.be/eUkKE-kAA3Q